Emaphoto c'est Emilie et Emilie c'est Emaphoto.

Tout a débuté à mes 17ans, lorsque mes parents m’ont offert mon premier appareil photo, un petit compact FUJI argentique.

J’ai découvert tout un monde à fixer sur une pellicule. Très rapidement, j’ai recherché des sujets peu communs. A quoi bon refaire les photos que tous les autres avaient déjà prises. C’était aussi la mode des boitiers Kodak à usage unique, avec 24 vues, qu’on amenait entier chez le photographe. Seul le film était important, l’appareil n’était qu’un accessoire de celui-ci. J’en ai utilisé, de ces appareils sommaires ! Certains, étanches, m’ont accompagné derrière l’abri des barrières de corail de l’océan Indien. Finalement, j’ai eu la certitude que l’appareil ne serait pour moi qu’un moyen.

Mon premier « gros appareil », un Nikon argentique F65, objectif AF  70-300 m’a surtout permis de développer encore l’étendue des moments qui étaient à ma portée. Et le grain particulier de l’argentique aura toujours une saveur toute particulière.

J’ai apprécié mon Samsung Bridge Wb 110F pour la polyvalence de cet appareil compact, passe partout, que j’ai pris l’habitude d’avoir toujours avec moi, où que j’aille. J’ai pu à partir de là me consacrer aux photographies instinctives, mitrailler des fleurs, des ciels, des oiseaux, des moments à la volée, partout. En voiture, en train, en ville, en campagnes, à la mer, partout.

Aujourd’hui, je travaille avec un Nikon D5300 avec un petit objectif AF 18-105 qui m’accompagne toujours, bien campé sur un plastron de support et une antiquité dénichée dans une brocante, un bon vieux Nikon EM de 1979 avec un objectif Tamron SP 28-80 CF MACRO, équipé d’un film noir et blanc, juste pour le plaisir.

 

Mon ambition : Prendre des images que personne ne prend, pour montrer des choses que personne ne voit.

Mon parcours,une ambition: Prendre des images que personne ne prend, pour montrer des choses que personne ne voit.

Je continue d’arpenter les rues, les chemins et les routes. Depuis un an, j’ai franchi le pas de l’exposition de mes clichés les plus personnels : du 2 septembre au 6 octobre 2023 à l’espace Constantine au Mans, le 26 novembre salle des Bruyères, le 3 décembre à Trangé, le 2 mai 2024 à l’espace des Quinconces avec le collectif de la Courte Échelle, du 1er au 2 juin au Festival des Champs Magnétiques à Fercé et le 2 juin, à l’espace des Quinconces avec La Courte Échelle.

Alors bien sûr, je travaille à l’instinct, et je ne favorise pas à la technique. Je suis passée au numérique tout naturellement, mais sans la moindre envie de m’attacher à ces nouvelles machines. J’ai développé un sens de l’image inattendue, incongrue parfois, préférant les angles différents, préférant l’émotion à la perfection. Jaime beaucoup le travail sur le flou laissant court à l’imaginaire.

Je n’utilise aucun logiciel de retouche élaboré. A peine je me permets un recadrage ou un ajustement des contrastes et couleurs pour mettre en avant ma vision.  Je tente de faire partager mes ressentis, et de figer des instants trop furtifs pour notre perception.

Je me déplace pour vous proposer un nouvel univers dans votre lieu !

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Nous vendons nos photographies artistiques en édition limitée pour quelles ne soient qu'à vous !



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Depuis 2015 je partage en professionnelle mes avis et les réalisations avec le monde entier afin de valoriser mon travail mais aussi concourir à des concours prestigieux.

 

 

Matériel utilisé

J’ai découvert tout un monde à fixer sur une pellicule. Très rapidement, j’ai recherché des sujets peu communs. A quoi bon refaire les photos que tous les autres avaient déjà prises. C’était aussi la mode des boitiers Kodak à usage unique, avec 24 vues, qu’on amenait entier chez le photographe. Seul le film était important, l’appareil n’était qu’un accessoire de celui-ci. J’en ai utilisé, de ces appareils sommaires ! Certains, étanches, m’ont accompagné derrière l’abri des barrières de corail de l’océan Indien. Finalement, j’ai eu la certitude que l’appareil ne serait pour moi qu’un moyen.

Mon premier « gros appareil », un Nikon argentique F65, objectif AF  70-300 m’a surtout permis de développer encore l’étendue des moments qui étaient à ma portée. Et le grain particulier de l’argentique aura toujours une saveur toute particulière.

J’ai apprécié mon Samsung Bridge Wb 110F pour la polyvalence de cet appareil compact, passe partout, que j’ai pris l’habitude d’avoir toujours avec moi, où que j’aille. J’ai pu à partir de là me consacrer aux photographies instinctives, mitrailler des fleurs, des ciels, des oiseaux, des moments à la volée, partout. En voiture, en train, en ville, en campagnes, à la mer, partout.

Aujourd’hui, je travaille avec un Nikon D5300 avec un petit objectif AF 18-105 qui m’accompagne toujours, bien campé sur un plastron de support et une antiquité dénichée dans une brocante, un bon vieux Nikon EM de 1979 avec un objectif Tamron SP 28-80 CF MACRO, équipé d’un film noir et blanc, juste pour le plaisir.

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